Artificialisation : derrière ce terme un peu technique se cache un phénomène dangereux pour la biodiversité et le climat. Chaque année, en France, entre 200 et 300 km² sont grignotés par les activités humaines, soit 2 à 3 fois la taille de la ville de Paris. Construction de nouveaux logements, bétonisation, construction d’infrastructures ou même usage intensif de produits chimiques, l’artificialisation des terres est un vaste problème qui a des impacts durables sur les sols, la biodiversité et donc, sur nous autres humains. France Nature Environnement (FNE) fait ici un inventaire, des solutions qui doivent être engagées pour l’éviter ou la réduire.
Pour exemple, en Seine-Saint-Denis d’après les analyses de l’Institut Paris Région (IPR) ce sont près de 170 hectares qui ont été artificialisés de 2012 à 2021 (Source MOS 2021).